Savoir s’écouter

Voilà bien longtemps que je n’ai pas écrit sur ce blog, presque 8 mois pour être précise. Huit mois sans donner de nouvelles, c’est bien long ! Mais il y a eu plusieurs raisons, que je vais vous expliquer dans cet article 😉

Mais avant de commencer, qu’est-ce qui m’a poussée à écrire un article aujourd’hui ? Et bien c’est parce que je n’ai presque pas le choix, car une date se profile face à moi et que je sais depuis des années qu’elle va être importante à marquer : le 22 août 2021, cela fera très exactement dix ans que nous avons quitté la France pour les États-Unis, mais également trois ans que nous avons déménagé au Portugal ! Pour ceux qui me suivent depuis le début sur ce blog, cela fait donc bien dix ans que j’ai ouvert timidement cet espace d’écriture pour partager nos débuts hasardeux au bout du monde. Ça valait bien un petit coucou de ma part par ici, non ?! 🙂

Qu’est-ce que je retire de ces dix années loin de la France ? Beaucoup de fierté, beaucoup d’apprentissages, beaucoup de belles rencontres, parfois quelques ratés et quelques incompréhensions, mais dans l’ensemble une expérience hors du commun que je conseillerais à tous ceux qui cherchent à aller voir plus loin pour mieux se comprendre eux-mêmes. Je suis reconnaissante de tout ce que j’ai découvert et construit pendant ces dix années, et je nous en souhaite dix autres de plus tout aussi enrichissantes !

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Concernant ces derniers mois, ils ont été assez mouvementés de mon côté. Lorsque je vous ai quittés en janvier, je ne me doutais pas de ce qui m’attendait, loin de là !

Tout d’abord, on a été de nouveau longuement confinés. La situation s’est en effet beaucoup dégradée début janvier au Portugal, et les écoles ont fermé jusqu’à fin mars, voire mi avril pour les élèves plus âgés. Nous avons donc passé plus de 3 mois à la maison, entre école à distance et interdiction de sortir de notre « concelho » (plus ou moins Lisbonne). Adieu plages, balades, surf, amis et restos… Ce qui nous a sauvé, c’est le magnifique parc à côté de chez nous, où nous pouvions retrouver les copains après l’école, en petit comité. Comme tous, nous avons pris notre mal en patience et ça a fini par passer.

À mesure que la reprise de l’école des enfants approchait, j’étais complètement euphorique à l’idée de tout ce que j’allais enfin pouvoir reprendre : l’écriture, la marche, les sorties entre copines, mes cours de portugais… une vie normale en somme ! Mais je sentais que quelque chose clochait. Mon corps me disait STOP, il me disait de prendre soin de lui et de l’écouter, ce que je n’ai évidemment pas fait. Le jour de la reprise de l’école, j’ai senti un mal étrange monter du bas de mon dos, à droite, une douleur nouvelle qui ne passait pas. J’ai choisi de l’ignorer, bien trop occupée à apprécier ma liberté fraîchement retrouvée. Trois jours plus tard, j’étais dans la rue à attendre un rdv quand soudain du pollen m’a fait tousser très fortement. En toussant, j’ai ressenti une douleur ATROCE, comme si quelque chose avait soudainement éclaté dans mon dos.

S’en sont suivies des nuits cauchemardesques, à pleurer de douleur pendant mes insomnies. Pendant trois jours j’ai survécu, complètement hébétée par ce qui m’arrivait. Le samedi suivant, je me suis réveillée en hurlant à chaque mouvement, et j’ai pris la décision d’aller aux urgences, qui n’ont rien trouvé de mieux que de me dire que mon problème était musculaire et de me donner un traitement de cheval contre la douleur. J’ai pris les médicaments trois jours, complètement shootée. J’ai revu un médecin, qui m’a changé de traitement en confirmant que c’était musculaire, mais les douleurs épouvantables de mon dos ne me lâchaient plus. Je n’ai eu aucun répit pendant près d’un mois. Je ne pouvais plus marcher, plus m’asseoir, plus dormir, surtout quand j’ai fini par prendre de la cortisone.

Pendant ce passage hors du temps, clouée au lit par la douleur, mon corps me hurlait : « Alors ça y est, tu m’écoutes ?! ». Et j’ai fini par l’écouter. J’ai entendu sa souffrance d’avoir passé 38 ans à être négligé. J’ai une vie plutôt saine, mais mon corps est toujours passé en dernier, bien loin derrière mon esprit, mon rôle de maman et mon métier. Et il a souffert de cet abandon, parce qu’il y a toujours plus urgent à faire. Lorsqu’on souffre autant, plus rien ne compte que l’ici et le maintenant. Alors, pour la première fois de ma vie, j’ai vraiment pris le temps de ME consacrer du temps, puisque de toute façon je ne pouvais rien faire d’autre.

Lorsque j’ai commencé un peu à émerger, j’ai suivi les conseils de ma chiropractrice et de ma prof de yoga, qui étaient toutes deux convaincues que ce n’était pas un problème musculaire, mais une hernie discale. J’ai fait un IRM, et j’avais bien sûr une hernie discale assez prononcée. Ce que la médecine n’avait pas vu, elles l’avaient compris dès les premiers instants. Alors, à partir de mi-mai, j’ai relevé la tête, tout doucement. J’ai choisi de prendre soin de mon corps, dans la douceur.

Je ne vais pas vous mentir, ça n’a pas été facile. Mon parcours de renaissance à la vie a pris des semaines d’efforts acharnés, à mon petit rythme. Pour y arriver, j’ai pris un morceau de papier, et j’ai défini des objectifs simples afin d’atteindre le but que je m’étais fixée : être en état d’aller en France cet été et de profiter de ma famille et de mes amis, pas vus depuis un an. J’ai commencé par reprendre la marche, tous les jours. Les premières fois, je n’allais qu’au bout de la rue et je rentrais m’allonger pendant des heures. A force de douleur, mon corps entier était complètement crispé, et mes muscles étaient tellement tendus que ma jambe droite ne pouvait plus se déplier. Marcher était donc compliqué.

Pendant les semaines suivantes, j’ai fait deux séances de chiro/ostéo par semaine, j’ai fait du yoga tous les jours, j’ai écouté des heures de méditation et j’ai beaucoup pleuré. J’ai aussi réfléchi à mon alimentation : puisque j’avais une inflammation du nerf, est-ce que je ne pouvais pas chercher des aliments anti-inflammatoires pour aider à la réduire ? Je me suis beaucoup renseignée, et j’ai découvert une nouvelle façon de se nourrir, qui me correspond tellement. Si cela vous intéresse, je pourrais peut-être écrire un article là-dessus, car c’est un sujet passionnant mais complètement ignoré. En dernier lieu, une amie m’a fait découvrir le grounding, qui est un contact prolongé avec la terre, pieds nus. Pour moi, ça a été une révélation. Nous marchons notre vie entière avec des chaussures, coupant toute connexion avec ce qui nous soutient depuis toujours. Retourner à la nature a été plus qu’une évidence, et est devenu au fur et à mesure un besoin dans ma recherche de mieux-être. Là encore, faites moi signe si le sujet vous intéresse, je me ferai un plaisir de vous en parler un peu plus.

Photo de Diego Madrigal sur Pexels.com

Avec tout ce que j’ai mis en place, j’ai réussi à atteindre mon objectif. Le 9 juillet, j’ai démarré le long périple de 5000 kms qui m’attendait cet été, et pour l’instant, presque un mois et demi plus tard, la douleur n’est plus qu’épisodique, et sur le déclin. J’ai pu profiter de mes proches, comme je le souhaitais, et je vais rentrer à Lisbonne complètement reboostée par tous ces bons moments. Il me reste de cet épisode une raideur dans la jambe droite, que je n’arrive toujours pas à se déplier à 100 %, mais je ne suis plus inquiète. A force de poursuivre mes efforts, cela aussi rentrera dans l’ordre, comme le reste.

Pourquoi est-ce que j’ai eu envie de vous raconter tout ça aujourd’hui ? Et bien, je pense que partager mon expérience peut vous aider à mieux comprendre les vôtres. Peut-être avez-vous déjà eu, comme moi, un épisode d’alarme dans votre corps, qui vous a permis de revoir vos priorités ? Ou bien peut-être que justement, cette alarme essaye de se faire entendre, mais vous n’avez ni le temps, ni l’envie, de vous en occuper ?

Comme pour toute expérience, belle ou douloureuse, il y a une leçon à retenir. Pour moi elle a été on ne peut plus claire ! J’ai compris l’urgence de prendre correctement soin de son corps. Il est très facile de le mettre un peu de côté dans les premières décennies de la vie, parce qu’il assure toujours son rôle, en général sans trop se plaindre. Mais on vieillit tous, et le corps on n’en a qu’un. Pour moi, j’ai passé trop de temps à vivre à côté du mien, confiante dans sa capacité à se gérer tout seul… Quelle erreur !

J’ai beaucoup pleuré pendant cet épisode, de douleur, bien sûr, mais aussi de doutes et de peurs. Je me revois dire à ma thérapeute que je n’arrivais plus à me raccrocher à rien, parce que mon plus fidèle soutien, qui ne m’avait jamais fait défaut en 38 ans de vie, n’était plus là pour m’accompagner. Tout s’est écroulé autour de moi, parce que tout s’écroulait en moi. Mais malgré tout j’ai réussi à reconstruire des bases, bien plus saines cette fois. Finalement, il est peut être important d’écouter ce que la vie nous dit, afin de ne pas rester sur des acquis fragiles qui font tout chavirer. Pour moi, cela a été pour ma relation au corps, mais je pense qu’on peut étendre cette réflexion bien au delà.

Malgré la difficulté, je suis contente de ce que j’ai vécu, parce que c’était nécessaire, et que c’est arrivé au bon moment. J’ai eu la chance d’être vraiment bien entourée, autant par des professionnels compétents (mis à part en médecine traditionnelle) que par des amies qui m’ont énormément soutenue. Cela m’a permis aussi de faire de belles rencontres, et je suis très reconnaissante pour tout ça.

Voilà pour ce (long) article, qui j’espère vous aura intéressé. J’aimerais bien avoir de vos nouvelles à mon tour, si cela vous dit en commentaire ici ou sur les réseaux sociaux 🙂 En attendant, je vais finir de profiter pleinement de mon été ici, avant de rentrer au Portugal fin août ! Comme l’année dernière, je ne reprendrai pas le chemin de l’école, à ma plus grande joie, car même si c’est un métier que j’adore, il est temps pour moi de continuer à me tourner vers de nouveaux horizons 😉

34 commentaires sur « Savoir s’écouter »

  1. Tu as dû énormément souffrir et ça se ressent dans tes mots. Malheureusement ou heureusement je ne sais pas, la vie ne m’a pas laissé le choix de m’occuper ou pas de mon corps: coincée dans un corset à 15 ans, j’ai dû prendre soin de moi, que je le veuille ou non, pour limiter les dégâts. Une hygiène de vie qui m’a suivie jusqu’à aujourd’hui.
    Je te souhaite de continuer à te sentir mieux et à trouver ta voie pour prendre soin de ton corps.

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    1. Oh la la, quelle expérience pour toi en effet ! Petite idée au hasard et si un jour ça te tente, je serais intéressée par un petit article sur ton blog sur ton histoire et l’hygiène de vie qui en a découlé, je suis super que ça doit être très intéressant ! Enfin je dis ça comme ça hein ^^ Merci à toi pour ton message et au plaisir de te relire bientôt !

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      1. J’ai déjà rédigé un article sur ma scoliose, la façon dont j’avais vécu cette période, mais effectivement pas sur l’hygiène de vie qu’elle m’a forcée à acquérir.
        Prends soin de toi 🙂

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  2. Bonjour Sophie,

    Aïe aïe aïe, j’espère que tes douleurs se sont bien apaisées.
    Je n’ai pas beaucoup de foi en la médecine allopathique, surtout aux États-Unis où je vis…
    J’ai toujours été soignée de façon naturopathique depuis mon enfance.
    La meilleure façon de s’alimenter pour éviter un état inflammatoire est le plant-based diet.
    Je suis végane depuis 2008 (et végétarienne avant) pour ma santé, pour la protection et le respect de notre planète et de ses habitants.💚🌱 🌎 💙
    J’adore lire ton blog!
    Bon courage!

    Valérie
    (Still living in Texas…😬)

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    1. Je suis tout à fait d’accord pour l’alimentation, d’ailleurs là je suis en France depuis 5 semaines et je mange moins bien, et bien je le sens sur mon énergie générale 😉 Comme toi je me tourne de plus en plus vers une médecine naturopathique, je trouve que dans mon cas c’est vraiment efficace ! Au plaisir de te relire sur le blog 😊

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  3. Merci Sophie pour cet article. Je compatis car je suis aussi passée par une hernie discale il y a 20 ans alors que j’étais sur mon 1er poste de prof. La pression était telle que comme toi mon corps m’a stoppée pour m’obliger à faire un break. Malgré la douleur, cela m’a permis de reprendre mon souffle. J’ai toujours beaucoup somatisé mais grâce à la méditation (que je ne pratique pas assez régulièrement malheureusement), ma qualité de vie s’est quand même bien améliorée. Tu as raison, il faut qu’on prenne soin davantage de notre corps. Merci pour ce rappel.

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    1. Merci pour ton message ! Reprendre mon souffle, c’est exactement ce qui m’est arrivé (même si quand on est dedans c’est difficile !). As-tu eu d’autres épisodes de hernie depuis ? À bientôt sur le blog !

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      1. Non plus de hernie mais on a dû m’opérer à l’époque. Par contre depuis 6 ans, j’ai une contracture musculaire au niveau des lombaires (là où j’ai eu la hernie) qui me provoque des douleurs quand je suis allongée sur le dos. Les séances de kiné / osteo n’y changent rien. Alors en septembre c’est décidé je m’inscris au tai chi car je pense que ma douleur est liée à un blocage psy. J’espère retrouver l’harmonie entre corps et esprit 🙂

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  4. Bonjour, très bel article qui me fait vraiment réfléchir!
    Oui, la médecine peut être longue à trouver, mon compagnon en a fait les frais. Mais, nous avons la chance d’avoir malgré tout une bonne médecine et surtout de pouvoir se soigner.
    Je vais suivre les conseils, je crois que mon corps sonne des petites alertes.
    À bientôt

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  5. Ca me rend dingue des anecdotes comme la tienne, le mépris, peut-être intériorisé, que ça sous-entend, de filer des médocs à quelqu’un sans même faire un examen approfondi. J’ai fait une embolie pulmonaire, comme ça : quand je m’étais plainte de mes douleurs, le médecin (une femme) a haussé les épaules, m’a filé des anti-inflammatoires et m’a prescrit de marcher pour soulager mon lumbago. C’était une phlébite…
    Breeeef.
    Contente de voir que tu vas mieux, j’espère te relire un peu par ici car tes écrits me manquent !

    PS : je signais Nathalie, avant, mais j’ai eu envie de revenir à mon vieux pseudo 🙂

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    1. Merci pour ton message !
      Je ne pense pas que ça ait été du mépris, juste une bonne erreur médicale 😉 Comme je suis jeune, en bonne santé et que j’avais peu de douleurs au dos avant, ils ont écarté d’emblée la hernie, même si j’ai émis l’hypothèse quand j’étais face à eux. Il aurait fallu que je fasse un IRM dès le début, mais ça m’a été proposé près d’un mois plus tard, quand la douleur ne passait toujours pas (tu m’étonnes !). Au plaisir de te retrouver sur ce blog 🙂

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      1. Là où je vois du mépris, c’est dans le fait qu’on ne t’ait pas proposé l’IRM tout de suite. La douleur que tu as décrite aurait dû, de mon point de vue, être prise en considération. Moi aussi j’étais jeune et en bonne santé avant cette phlébite… Les faits l’illustrent régulièrement, ça ne veut pas dire grand-chose et la maladie tombe aléatoirement, sans épargner personne. Bien sûr, c’est une erreur médicale, mais qui aurait pu, je pense, être évitée si le milieu médical ne haussait pas si souvent les sourcils en mode « oui bon, nos patients disent qu’ils souffrent, mais en fait ils sont douillets, c’est tout » 🙂
        Enfin, qu’importe, le principal est que tu te remettes ! Je te souhaite le meilleur pour la suite, prends soin de toi et des tiens !

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  6. Toujours aussi enrichissant ce moment de lecture en vôtre compagnie. Difficiles moments pour vous et votre famille. Oui, un article sur la nutrition m’intéresse bien. Bon courage pour cette reprise et bravo à toutes les personnes qui vous ont soutenues et accompagnées.

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    1. Merci pour votre message qui me touche beaucoup ! En effet, je n’en ai pas parlé mais mon mari et mes enfants ont été pas mal impacté du coup, mais tout est rentré dans l’ordre maintenant. Au plaisir de vous relire !

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  7. J’ai vécu un épisode similaire (je le vis peut-être toujours?) il y a 3 ans, après ma réussite au CAPES, pendant ma première année de stage. Burn out en fin septembre. J’ai voulu reprendre après Toussaint, tenu tant bien que (plutôt) mal malgré les insomnies et le stress, je fonctionnais au coca ; et puis fin janvier, douleur épaule, poitrine, j’appelle le 15. Embolie pulmonaire. 3 mois d’arrêt et tests pour vérifier que le caillot ne vient pas d’un cancer (non, ouf).
    Je m’apprête à reprendre en août pour ma deuxième année de stage : accident de cheval, fracture du coccyx (tout ça sur fond de violences domestiques). Là, c’est la douleur qui m’a rendue dingue. Nécessité de changer mon traitement de fond, hospit, décompensation, 3 mois en HP. Prête à reprendre, après d’autres péripéties médicales: l’administration met 5 mois pour me réintégrer, à 200km de chez moi.
    Entre temps, mes enfants vont mal, périarthrite aux deux épaules qui m’empêchent de dormir, et souvenir enfoui, oublié, qui remonte…
    Bref, je reprends, si mon corps ne dit pas non, à la rentrée, vaccinée. Je vais le finir ce satané stage!

    Mais oui, je comprends 😘

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  8. Bonjour, ton article est très interessant! Ça fait plusieurs années que je « travaille » sur ce sujet et chaque fois on découvre des choses épatantes, toutes nos peurs enfouies bien sûr mais aussi toutes nos ressources insoupçonnées. Et surtout on se découvre soi-même. Alors bravo de t’écouter enfin, ton corps tout entier en sera reconnaissant et toi aussi! 😉 Et très bonne idée aussi de faire un article sur les aliments anti-inflammatoires et sur le grounding. J’ai hâte de te lire à nouveau!
    Excellente journée! 🙂

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      1. Coucou Sophie,
        Ca alors, quelle histoire et oui la médecine traditionnelle a bien des carences : on fait confiance à ceux qi « savent »et pourtant….
        Tu as su prendre le problème dans le bon ordre.
        Tres ennuyée pour toi, vraiment.
        Je t embrasse fort et prends soin de toi.
        Bisous du Quebec : tu es lue au-delà de l Atlantique !

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      2. Merci Sylvie, c’est très gentil ! Ça va beaucoup mieux maintenant 🙂 Bonne fin de séjour au Québec ! C’est dommage, je crois qu’on va se croiser à Belmont à un jour près ! Cela m’aurait fait vraiment plaisir de vous voir. Bises à tous !

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